Daniel Desequelle, journaliste à Radio France, anima ces deux jours. Lors de ces forums étaient présentes des personnalités politiques comme l'adjointe au Maire de Dijon, le Président du Conseil régional de Bourgogne, des Présidents de régions, un administrateur de l'INSEE... toutes nationalités confondues.

Le débat commence par la présentation du FSE qui est naît en 1957, en relisant mes notes, je peux dire que le FSE a pour but de faire diminuer le chômage ainsi que la non-qualification, que c'est le 3ème fonds social le plus important en Europe, qu'il a 650 millions d'euros par an et qu'il regroupe 17 Etats membres ! d'après François Lavergne, évaluateur du programme FSE France.

Pause à 16h et c'est reparti dans l'aprem avec quatre forums en parallèles, j'ai choisi le forum n°1 : Investir dans la formation,une clé pour l'avenir.Ce que j'y retiens, quelques citations : La crise est un moment pour changer notre regard sur la formation, "La crise ne durera pas toujours, l'Europe se sentira transformer, il faut préparer l'après-crise". Après cette introduction, deux chefs d'entreprises se sont exprimés sur leur expérience, notamment avec l'entreprise THEVENIN qui a renforcé ces actions de formations pour faire face à sa baisse d'activité, puis un projet d'entreprise verte BATIRECO. Un chef d'entreprise s'exprime : "La formation, c'est une compétence pour l'entreprise et qui dit compétence dit valeur ajoutée pour l'entreprise..." Ce que j'y retiens aussi c'est que le FSE aide directement les entreprises en ce qui concerne la prise en charge de la formation, mais celui-ci n'est pas le seul il y a aussi , les OPCA (43%), l'Etat (15%), et le Conseil Régionale (13%), puis le FSE (10%).

A 18h fin des forums, puis visite du musée de Dijon, et repas.

Le lendemain, les tables rondes à 9h "Les solutions explorés dans le forums", "Les réponses face à l'après-crise". Avec une question d'un intervenant "Quelle solution face à la crise ?" Réponse "Articuler les formations, et les situations de travail, proposer des périodes plus courtes de formations." En tous cas dans les Flandres, la crise est perçut différemment qu'en France "La crise donne une opportunité", "Face à la crise peu de personnes se sentent concernées de perdre leur travail", "Le Taylorisme c'est fini : mettre en évidence le groupe et non l'individu" différent aussi au niveau des formations, "Les formations professionnelles se voient de plus en plus dans le monde du travail".

Enfin la conclusion, "On espère en tous cas que ce congrès vous aura permis de mieux comprendre comment la formation professionnelle était organisée dans notre pays." Oui j'ai quand même compris, un peu compliqué car les termes employés étaient assez techniques mais les supports papiers m'ont permis d'avoir un résumé des objectifs.

De retour donc à Bordeaux et merci à Publicis-Consultants pour cette aventure ! :)

Pour plus d'infos sur ce congrès voici le lien du FSE :

- FSE Dijon,

Billet en rapport :

- L'AFPA, la méthode anti-galère.